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il y a 3 ans
Première vacances à l’étranger, avec un groupe de copains.
La Turquie terre de fascination.
Franck, 21 ans, est radieux. Enfin son rêve se réalise... Istanbul, la Cathédrale Sainte Sophie, le Palais de Topkapi, le Bazar. Franck, 1m75, 70 kilos, un corps athlétique, une peau halée, des fesses rebondies, et une chevelure blonde, légèrement bouclée.
C’est l’été, il fait chaud, le soleil est radieux et Franck la chemise ouverte, un short de jean court moulant ses formes, déambule dans les rues. Une seule ombre au tableau, il a l’impression depuis qu’il a quitté l’hôtel de croiser souvent le même personnage. Mais Franck et ses amis se promènent insouciants dans les ruelles, à travers cette foule compacte et dans le fratras offert par les artisans.
Franck est friand «d’orientalisme». Il ne se rend pas compte qu’à f o r c e de regarder les étals il est à la traîne de ses amis qui le distancent petit à petit.
Devant une échoppe de narghilé, le commerçant, un petit gros, tout en sueur, les doigts chargés de bagues, une chéchia vissée sur la tête, vient au devant de lui, mielleux, et l’invite à entrer dans son échoppe. Il propose à Franck divers modèles et, sous prétexte de voir les plus rares et les plus anciens, l’entraîne de plus en plus profond dans sa boutique.
Les amis de Franck ne s’aperçoivent pas de sa disparition.
Le fond de la boutique n’est plus éclairé que par quelques lampes à huile. Soudain dans l’ombre, Franck distingue le visage du métèque qui le suit depuis le matin. Aussitôt il plonge dans l’obscurité, comme si on l’enveloppait dans un sac et un v i o l ent coup à la tête lui fait perdre connaissance.
Combien de temps s’est-il passé lorsque Franck reprend doucement ces esprits? Il est moelleusement allongé sur le ventre, entendu sur des tapis profonds, entourés de doux coussins. Franck se frotte la tête, un frisson lui parcoure le corps, il lui semble être nu. Où est-il ?
Soudain une main lui touche l’épaule et Franck sursaute, se retournant vivement! Un gamin est à genoux à son côté, torse nu, un pantalon bouffant noué d’une large ceinture, un sourire éclatant sur les lèvres. Les yeux de Franck expriment à la fois de la curiosité et de l’angoisse. Franck s’apprête à parler, quand le gamin lui dit en bon français:
— Reste clame, repose toi, tu es dans le palais du Sultan Mourad! Tu as de la chance, le Sultan t’a choisi! Je m’appelle Ali.
Le gamin se lève et s’en va. Franck reste là son corps envahie d’une langueur irrépressible la bribe de phrase «le Sultan t’a choisi» tournant sans cesse dans sa tête et puis, qui est ce Sultan Mourad ?
Un certain temps se passe que Franck ne mesure pas. La torpeur commence à se dissiper. Il regarde autour de lui. Il est a proximité d’un bassin, dans une vaste pièce à colonnades, les murs sont couverts de mosaïque, le sol est de marbre, le plafond rempli de stucs. On dirait un palais des mille et une nuits. Soudain le grincement d’une lourde porte se fait entendre et apparaît un petit bonhomme, sans âge, bouffi entouré de quatre gardes noirs en armure orientale, «comme dans un film» se dit Franck en se mettant debout. Le petit bonhomme lui explique dans un mauvais français qu’il est le chef des eunuques du Sultan Mourad et qu’il vient s’assurer des «dispositions» de Franck.
Franck est nu en station semi-écartée. L’eunuque avance ses doigts boudinés terminés par de longs ongles et lui attr a p e vivement les testicules. Franck a déjà eu une vie homosexuelle bien remplie et d’ordinaire, il se serait volontiers laissé faire, mais là le personnage est par trop repoussant et il lui tape v i o l emment sur la main. Le bonhomme se caresse les doigts, avec un rictus méprisant, puis hurle en turc, d’une voix aiguë. Deux des noirs empoignent Franck d’une main de fer. L’eunuque s’adresse à Franck d’une voix doucereuse et lui dit:
— Je vois, on se rebelle, on n’est pas prêt. Quand on la chance d’être choisi par sa Sublime Excellence le Sultan Mourad, on se doit d’être soumis, doux comme un agneau et combien accueillant. Nous allons te rendre conforme aux désirs du Sultan et pour cela il nous faudra sans doute te confier au Maître Karakulak !
Toujours fermement maintenu, l’eunuque attr a p e les couilles de Franck les soupèse, les palpes, les roule entre ses doigts, tire sur le scrotum, sur les poils. Son inspection est ponctuée de «humhum», «humhum» de «oui, oui, oui». Il s’étonne que la verge de Franck ne soit pas circoncise. Il tire d’abord délicatement le prépuce, dégage le gland et constate avec satisfaction que Franck entre en érection. Il tire à présent la peau de plus en plus en arrière et avec un hochement de tête satisfait, il contemple la pleine érection et le gland turgescent. «Dix-sept centimètres,» murmure-t-il. «Pas mal!»
De son petit index pointé, il décrit un cercle dans le vide et les gardes retournent brutalement Franck, l’obligeant à se pencher en avant et à écarter les jambes d’avantage. L’eunuque, palpe longuement les fesses et Franck se dit qu’il doit s'y attarder pour son compte. Puis il écarte les globes charnus et examine minutieusement l’intérieur de la raie et sa rondelle, presque à y mettre son nez dedans. Sans ménagement, il plonge un doigt dans l’anus de Franck qui ne peut étouffer un cri de douleur et de surprise. L’ongle le déchire. La prise des gardes se resserre. L’eunuque fait des mouvements de va-et-vient et le cri de Franck devient plainte de plaisir. L’eunuque met un deuxième doigt et avec satisfaction dit: «Bien, bien.» Il tente un troisième doigt, mais ne parvient pas le rentrer. L’eunuque se dresse et dit: «Bon.» Les gardes tournent Franck face à l’eunuque. Avec un sourire hypocrite, l’eunuque dit alors à Franck:
— Je pense que tu feras l’affaire, nous allons te préparer, puis tu feras un séjour dans l’école de Maître Karakulak, de façon à être docile, à acquérir du savoir faire et à bien recevoir sa Sublime Excellence le Sultan Mourad!
Là-dessus, l’eunuque se retire, laissant Franck nu avec les gardes.
Plein de questions trottent dans sa tête. Où est-il? Pourquoi cet examen? Que veut-il dire par «être docile»? «Acquérir un savoir faire»? «Comment recevoir un Sultan»? Qui est-il ce sultan et puis cette école? Est-ce une plaisanterie? Et encore ces gardes dont le pagne fait à présent une énorme bosse entre les jambes?
Franck juge que tout cela a assez duré. Il ramasse précipitamment une étoffe qui traîne sur le sol et se dirige vers la porte lorsque le bras puissant d’un garde le saisit par ses boucles et le jette par terre. Des s a n g lots montent à sa gorge qu’il réprime et Franck s’attend à un v i o l collectif.
La porte s’ouvre de nouveau laissant entrer cinq jeunes gens vêtus uniquement d’une espèce de jockstrap, une chaînette autour de la taille qui descend pour se diriger au dessous des fesses. Un gars plus âgés, la trentaine environ, semble les commander. Il est torse nu également, vêtu d’une espèce de shaps en tissus, bouffant aux chevilles, sans string ce qui laisse voir un long sexe, circoncis, au repos et deux grosses couilles pendantes.
Les jeunes gens disposent Franck allongé sur des coussins, le cul surélevé, bien en évidence les jambes écartées. Ils lui tirent les couilles bien en arrière. L’un deux se met à genoux entre les jambes de Franck, avec dans une main un bol et dans l’autre un rasoir droit. Franck voit l’éclat de la lame. Il pense aussitôt à l’eunuque et croit que l’on va l’émasculer. Il essaie de se relever et à cet instant un fouet claque, lui cinglant les fesses de sa morsure cuisante et le fait retomber pantelant. Franck sous la douleur se mord les lèvres. Un des jeunes gens, vient lui caresser les cheveux et applique sur la plaie un onguent rafraîchissant. Deux autres jeunes se placent de chaque côté de lui et lui écartent les fesses au maximum, le premier entreprend un rasage minutieux de sa raie et de ses couilles.
Ce premier soin terminé, ils dirigent Franck vers le bassin, y versent des sels parfumés en abondance et Franck s’y plonge, se laissant aller à l’extase et à l’effet bienfaiteur des gros bouillons. Dernière le moucharabieh qui lui fait face deux hommes l’observent, dont il ne peut voir que l’ombre et l’éclat d’un bijou.
Sorti du bain, Franck est dirigé vers une table où on le masse longuement tandis que l’on prépare sa couche. On lui apporte un repas délicieux et bien arrosé. Franck se couche et le plus âgés revient lui examiner son sexe ainsi que la largeur et la profondeur de son anus, puis tous à l’exception des gardes se retirent.
Franck s’endormit et passa une nuit paisible.
Au matin, un rayon de soleil tombant du plafond chauffe délicatement la joue de Franck qui s’éveille. Un copieux petit déjeuner est disposé. Il se restaure et constate qu’il avait retrouvé la forme. Des ombres l’observent derrière le moucharabieh. La porte s’ouvre sur le chef des eunuques accompagné d’Ali et de quelques gardes. Franck se raidit. Le chef des eunuques s’adresse à Ali qui traduit.
— Boucles d’Or, c’est ainsi que tu t’appelles maintenant! Tu sais déjà que tu es dans le palais de sa Sublime Excellence le Sultan Mourad qui t’a choisi, et k i d n a p p é, pour faire de toi un des favoris de son harem! Le Sultan Mourad est très friand d’hommes et il en a une grande collection. Toutefois rares sont les blonds comme toi et tu es une pièce de choix. Le chef eunuque a vérifié tes capacités qui ont été certifiées par le majordome hier soir. Malheureusement, tu t’es révolté et tu n’es pas tout à fait apte à accueillir sa Sublime Excellence le Sultan. Il a donc été décidé de te préparer en vue de ta présentation. De plus, dans huit mois, le Sultan organise une grande fête durant laquelle ton sort sera décidé, soit te garder, soit t’échanger contre une autre pièce de collection. C’est pourquoi tu vas être emmené à l’école du Maître Karakulak pour parfaire tes connaissances et tes aptitudes. Pendant ton instruction, dont la durée dépendra de ta bonne volonté, je serai à tes côtés pour t’aider et te soutenir.
Franck, le regard affolé, est poussé nu, hors de la pièce par les gardes. Suivi une grande enfilade de couloirs. L’eunuque bifurque à gauche et Franck se retrouve seul avec Ali et les gardes. Poussé dans une alcôve, un jeune éphèbe lui met un collier clouté, un cockring et réunit les deux par une chaîne. Les gardes empoignent Franck et ils continuent à emprunter des couloirs de plus en plus humides et profonds.
Soudain, une porte s’ouvre et Franck, suivi d’Ali est projeté dans une grande pièce éclairée par des torches. Ali lui dit de se mettre à genoux comme la dizaine de gars qui s’y trouvent déjà. Au fond de la pièce sur une estrade, un homme fait les cents pas, faisant claquer un fouet. C’est à n’en pas douter un grand Turc. Ali murmure à l’oreille de Franck: «Maître Karakulak!!!»
Maître Karakulak, environ 40 ans, fait 1m85 et doit peser 85 kilos. Le crâne rasé, les sourcils broussailleux, une barbe de trois jours, une grosse moustache noire, un anneau à l’oreille, baraqué, le torse très velu, un harnais clouté, les jambes poilues aussi, les tétons proéminents et un long sexe au repos qui pend par la fente ouverte de son pagne. Il est entouré par des sbires musclés, cagoulés, harnais et cockring, le sexe comprimé dans des espèces de string en grillage, genre ceinture de chasteté pour homme et un martinet à la main.
Maître Karakulak prend la parole dans un français impeccable et pour expliquer ceci dit qu’il avait vécu plusieurs années en France jusqu’à ce que sa Sublime Excellence le Sultan Mourad l’appelle à son service, pour cette tâche particulière qu’était l’éducation des membres du harem. "Et oui!" leur dit-il. "Ils sont tous français, ont tous été k i d n a p p é s dans le but de devenir les jouets sexuels du Sultan. Avant de devenir des favoris, ils ont tous le statut d’apprenti, statut qu’ils garderont s’ils ne sont pas élus. S’ils le sont, quand il auront fini de plaire ou seront devenu trop vieux, certains finiront leurs jours au harem, comme eunuque, ou domestique, d’autres seront échangés à d’autres seigneuries."
Boucles d’Or, alias Franck, se jura qu’il serait le meilleur.
Une rumeur de protestation se fait entendre et les sbires se précipitent en assenant de v i o l ents coups de martinet à tour de bras. Le calme revenu, Maître Karakulak ajoute, qu’en qualité d’apprenti et même après, ils devaient toujours baisser la tête et les yeux. Pendant tout leur apprentissage, ils vivront nus. On allait leur apprendre la soumission, et certaines pratiques sexuelles chères à sa Sublime Excellence le Sultan Mourad. Cet apprentissage se fera sur du matériel ou sur la bite de Maître Karakulak.
Toute pratique sexuelle sera interdite entre esclave. Seul Maître Karakulak pourra se faire sucer ou bien les sodomiser du moins jusqu’à ce qu’ils soient à la taille de sa Sublime Excellence le Sultan Mourad. Ensuite seul ce dernier pourra disposer de leur cul. À ce stade, n’importe qui du palais pourra à tout moment se faire sucer ou bouffer le cul. Qu’ils soit bien clair qu’ils ne sont que les jouets du sultan. Seul Maître Karakulak pourra continuer à chaque instant à vérifier la largeur et la profondeur de leur anus qui devra rester conforme à la volonté du sultan sans toutefois les enculer.
Les gamins mis à leur disposition les aideront dans leur éducation, les apprentis seront soignés et nourris par les domestiques du palais. Leurs couilles et leur cul devront rester à jamais lisse comme ceux d’un bébé.
Maître Karakulak donna ensuite l’ordre à ses sbires de les emmener dans la pièce voisine. Cette pièce, basse de plafond, est éclairée d’une lumière douce et ocrée. Les murs sont couverts d’étagères chargées de plugs, de gods d’objet en tous genre. Des chevalets sont disposés, ainsi que des tabourets avec pédaliers. Aux murs pendent également des fouets, des menottes, des martinets. Dans le fond il y a des cages.
Maître Karakulak, leur dit qu’un favori étant la seule propriété du sultan, il doit avoir l’anus constamment obturé par un plug qui sera maintenu autour de leur taille par une chaînette et que l’on allait procéder à la mise en place des plugs. Certains apprentis se rebiffent et reçoivent des volées de coup de martinet.
Il donne l’ordre aux apprentis de se coucher sur les chevalets. Ils sont ainsi la tête vers le bas, le cul offert, les jambes écartées. Les sbires passent alors pour attacher leurs mains et leurs pieds. Un tout jeune apprenti se met alors à hurler qu’il ne voulait pas, qu’il n’était pas homosexuel, qu’à part la masturbation il n’avait aucune pratique... Maître Karakulak lui assène trois coups de fouet qui le laissent au bord de l’évanouissement. L’apprenti se tait et on n’entend plus que ses s a n g lots. Le gamin qui lui était attaché, passe un onguent sur ses plaies.
Les sbires distribuent à chaque gamin un plug qu’ils enduisent de gel après avoir passé une chaînette dans la base. Les gamins écartent les fesses de leurs apprentis tandis que Maître Karakulak introduit les plugs dans chaque anus. Boucles d’Or en avait déjà pris d’autres dans le cul! Les sbires ferment les chaînettes avec un petit cadenas et Maître Karakulak vient vérifier le travail. Ils sont ensuite détachés.
Boucles d’Or comprend que les jeunes gens qui l’avaient rasé et baigné devaient être des apprentis comme lui, des favoris auraient été un trop grand honneur de la part du sultan pour sa personne. Il trouve que, hormis la v i o l ence des coups de martinet ou et fouet, le traitement n’est pas trop sévère et il est sans doute plus inquiet pour son avenir.
On les fait ensuite s’agenouiller devant un tabouret sur lequel est fixé un gode en matière demi souple et Maître Karakulak décrète: «Entraînement à la fellation». Les plus réticents reçoivent une volée de coup de martinet. Des apprentis plus anciens, entrent, et prodiguent leurs conseils, leur font voir comment si prendre, pour entrer le gode profond dans la gorge sans avoir des hauts le cœur. Cela se passe sans un mot, car ils sont tous d’une autre nationalité et on a pris soin à ce qu’aucun ne parle le français.
Le tout jeune n’ayant réellement aucune expérience, Maître Karakulak décide de le prendre personnellement en main. Il ôte le gode du tabouret et s’assoit devant lui, lui tendant sa bite en disant: «Tète!!!» Le jeune les larmes aux yeux commence par lui sucer son chibre du bout des lèvres. Le Maître lui dit: «Ouvre grand!!!» et il enfourne son sexe dans la bouche. «Je veux la ressortir dure!!!» Le jeune s a n g lote et Maître Karakulak passe une main derrière sa tête et l’oblige à le prendre en entier. Sans doute que le jeune inexpérimenté resserre un peu les dents car tout à tout Maître Karakulak lui administre une gifle magistrale.
Dans les jours suivants, les plugs et les godes augmentent de volume. Arrivent les séances d’apprentissage de bouffage de cul. Pour cet exercice, se sont les sbires qui se positionnent sur les chevalets, sans toutefois être attachés. De nouveau, les apprentis d’autres nationalités, viennent faire des démonstrations. Les gamins écartent bien les fesses des sbires et l’apprenti doit commencer par les leur caresser, puis embrasser la rondelle, ensuite la téter et y glisser leur langue pendant des heures sous la surveillance attentive de Maître Karakulak. Pour le jeune, c’est lui qui jouait le rôle du sbrire. Tous les sbires ne sont pas f o r c é ment propres mais il faut faire avec. Certains, à cause de leur alimentation pimentée souffrent d’hémorroïdes mais il faut les bouffer quand même.
Pour les repas qui sont pris en commun, Maître Karakulak fait enlever les plugs à demeure et chaque apprenti doit s’asseoir sur un tabouret au milieu duquel est fixé un phallus, «un tabouret marocain». Pour se servir dans les plats centraux, il faut se pencher, interdiction d’évacuer le phallus.
Après les ablutions et les soins du soir, c’est à dire lavement adoucissants et astringents afin de calmer les irritations du cul, les plugs remis en place, chacun se couche sur sa palliasse. Certains après tant d’excitation toute la journée se masturbent, ou enculent leur gamin ou sucent leur voisin. Ils ne pouvaient se faire prendre, leur cul étant obstrué par le plug. S’ils sont surpris, ils sont punis sévèrement et mis en cage.
Le plus jeune dort dans la chambre de Maître Karakulak. On l’entend de moins en moins s a n g loter, et de plus en plus gémir de plaisir.
Quelques temps plus tard, Maître Karakulak fait mettre les apprentis sur les chevalets. Après une longue fellation par son jeune, il se présente avec une queue bandée de 22 cm, un gros gland comme un œuf de poule et déclare qu’il allait maintenant vérifier la largeur et la profondeur de l’anus de chacun.
Les gamins se dépêchent de lubrifier le cul de l’apprenti dont ils s’occupent. Selon leur dévouement et leur courage, ils mettent plus ou moins de gel et Maître Karakulak commence par un doigt, deux doigts puis trois et enfin pointe son gland à l’entrée et d’une seule poussée à la turc, introduit sa teub jusqu’à la garde. Certains hurlent de douleur, d’autres convenablement préparés le supportent mieux. Après chaque apprenti, Maître Karakulak marmonne «hum!», «bof!», «pas mal!».
Quand il arrive à Boucles d’Or, il présente son gland, l’appuie sur sa rondelle, et d’un coup de rein glisse jusqu’au couilles. Franck gémit de plaisir et Maître Karakulak satisfait crie «oui!!!».
Il est alors décidé de passer à la phase suivante, celle de l’endurance.
Le matin, les plugs enlevés, les apprentis sont assis sur les tabourets à pédale, appelés aussi «tabouret de volupté». Sur le principe des anciennes machines à coudre en appuyant sur la pédale, un gode interchangeable entre et sort du cul, dans un mouvement de va-et-vient réglable selon la vitesse du pédalage.
Au début, c’est l’apprenti qui doit pédaler à son rythme. Quand il faiblit c’est le gamin qui prend le relais. Les poignets de l’apprenti sont attachés sur les bords du tabouret pour s’assurer qu’il ne puisse pas se lever et ne prendre ainsi le gode que partiellement.
Pour le jeune, c’est Maître Karakulak qui fait office de tabouret, bandant toute la journée et son apprenti, qu’il appelle «Clair de Lune» monte et descend inlassablement sur sa tige turgescente pour un plaisir commun, sans aucune larme. Que la nature est changeante pensa Boucles d’Or.
Puisque les apprentis sont immobilisés toute la journée à se faire limer par des godes de plus en plus gros, Maître Karakulak décide qu’il faut en profiter pour détendre les couilles. Les gamins les roulaient entre leurs doigts graisseux, puis que les sbires y attachaient des poids de plus en plus lourds. Pour développer les seins et les pénis, on y mettait des pompes à vide. Pour parfaire la fellation, Maître Karakulak s’était fait sucer par les apprentis et avait jugé le résultat décevant. Aussi fut-il décidé d’ôter les ceintures de chasteté des sbires qui devaient se faire sucer pendant tous les exercices.
L’école avait pris du retard et il fallait le rattr a p e r.
Les sbires encore une fois n’étaient pas tous très fanas de l’hygiène et s’ils étaient tous bien montés, certains avaient la bite qui sentait la pisse. Pour ne pas recevoir une dérouillée, il fallait se soumettre. Si le sbire se lâchait, il fallait avaler sans broncher. Pendant les fellations, si le sbire s’aperçoit qu’il y a un relâchement du côté de la pédale, il appuie de plus en plus vite d’autant que l’excitation de la fellation lui en donne l’envie.
Les anus étant à présent hyper bien dilatés par ses longues séances de «tabouret de volupté», il passe à un nouvel exercice. Maître Karakulak fait revenir les apprentis étrangers, les fait s’allonger sur les chevalets et après avoir enlever leur plug, demande aux nouveaux apprentis d’introduire un doigt dans l’anus des premiers. À leur grande surprise, le doigt à peine introduit est comme avalé par les contractions des sphincters. En introduisant de gros godes, Maître Karakulak fait constater qu’ils sont quand même bien ouverts.
Il demande aux apprentis d’arriver au même résultat et c’est à nouveau les sbires qui participent aux travaux pratiques en alternance avec les tabourets de volupté.
Les jours passent, fellations, bouffage de cul, de couilles, pompes à vide, échauffement, tabourets marocains, tabourets de volupté, contraction des sphincters, ne jouir que sur commandement, coups fouet et de martinet, baffes en pleine gueule, sur les fesses, les apprentis sont crevés.
Un matin Maître Karakulak leur dit de ne pas s’installer sur les tabourets car les cours sont terminés. Ainsi en a décidé sa Sublime Excellence le Sultan Mourad, sur son conseil. Pour ces bons services, le jeune apprenti, qui s’appelle à présent Clair de Lune, lui a été donné.
Clair de Lune est assis à ses pieds, le visage souriant, un bras passé autour d’une de ses jambes, il tripote ses longs poils, le nez presque sur le gland de Maître Karakulak qui lui caresse la chevelure. Aujourd’hui, Maître Karakulak va les recevoir chacun leur tour pour une dernière vérification. Clair de Lune tire la gueule. Les plus aptes seront ramenés dans leur appartement, dans les niveaux nobles du palais, et garderont leur gamin jusqu’à l’appel de sa Sublime Excellence le Sultan Mourad. Ils doivent continuer leurs exercices de tabouret dans cette attente. Les autres seront amenés à l’office, dans les sous-sols du palais, pour y devenir esclave ou domestique.
Boucles d’Or attend depuis un moment. Ses coreligionnaires entrent et sortent de chez Maître Karakulak, parfois, souriant, parfois en pleurant. Soudain il entend prononcer son nom. Il se lève et Ali l’encourage par une poussée amicale dans le dos.
Il pénètre chez Maître Karakulak et est accueilli par le Chef des eunuques. «Par où est-il entré?» pense Boucles d’Or. Dans le fond de la pièce, on ne peut voir qu’un cul sur un lit. Le chef des eunuques explique qu’il s’agit d’une répétition pour le jour où il sera reçu par sa Sublime Excellence le Sultan Mourad. Comme tout favori, il faut que Boucles d’Or fasse preuve allégeance et de soumission. Il doit donc honorer la partie la plus intime de son Maître.
Boucles d’Or, la tête et les yeux baissés, s’avance jusqu’au derrière de Maître Karakulak, s’agenouille, dépose un baiser sur chaque fesse poilue, écarte délicatement les globes charnus et entreprend de lui sucer l’anus et y introduisant profondément sa langue, comme on le lui a appris. Satisfait, Maître Karakulak se retourne et l’embrasse sur la bouche. Puis il retourne Boucles d’Or et ôte son plug. Il lui titille les tétons qu’il sent durs et proéminents, puis il entraîne Boucles d’Or sur sa couche.
Une heure de plaisir se passe à s’embrasser, se titiller, se sucer, et enfin Maître Karakulak introduit ses 22 cm dans l’anus de Boucles d’Or qui commence à lui masser sa verge avec ses sphincters, libérant Maître Karakulak de longs et copieux jets de foutre tandis qu’il éjacule également. À ce moment, il ressent une brûlure atroce à l’épaule. Un des sbires vient de le marquer au fer rouge, d’un croissant de lune qu’enlace un serpent, symbole du Sultan.
Maître Karakulak dit à Boucles d’Or combien il a répondu à ses attentes, qu’il est un bon élément et que, par conséquent, il peut espérer devenir Le favoris de sa Sublime Excellence le Sultan Mourad.
Boucles d’Or du sperme coulant le long de ses cuisses est emmené par le chef des eunuques dans ses premiers appartements où il retrouve Ali. Là on le baigne, lui fait des lavements, on replace son plug, on le masse et il peut se restaurer.
Les jours passent en soins corporels, en exercices sexuels et de musculation en compagnie d’Ali, qui lui fait la lecture, lui fait écouter de la musique, le diverti. De temps en temps Maître Karakulak vient vérifier la largeur de son anus et la contraction de ses sphincters.
Maître Karakulak a pris Boucles d’Or en sympathie et un jour il lui dit que l’état de son anus est très important, sa Sublime Excellence le Sultan Mourad étant encore mieux montée que lui! Boucles d’Or rêvasse: «Comment était «son» sultan? Vieux vicieux? Sadique?», «Comment cela se passerait-il?»
Un soir, toute une armada de domestiques, précédée par le chef des eunuques entre dans la pièce. Ali murmure: «C’est pour ce soir.» Plus que jamais, il est baigné, parfumé, étriller, rasé, bouclé. On change, après lui avoir administré plusieurs lavement et l’avoir lubrifié, son plug et son collier pour un plug et un collier en or, comme ses chaînes. On lui passe un vaste peignoir de soie bleue, des babouches assorties aux pieds et on l’emmène dans les appartements privés du Sultan.
Boucles d’Or est introduit dans une pièce somptueuse, aux murs capitonnés, au plafond couvert de soierie. De l’encens brûle dans de grands brûle-parfums. Bien que la tête et les yeux baissés, Boucles d’Or a appris à regarder par en dessous. De chaque côté de la pièce, se tiennent trois grands athlètes, crâne rasé, vêtus simplement d’une étoffe blanche cachant leur sexe, les bras croisés sur la poitrine. Au fond, un grand lit à baldaquin.
On ôte le peignoir de Boucles d’Or et on le fait s’agenouiller sur un coussin. Le chef des eunuques en de multiples génuflexions et courbettes s’approche du baldaquin et un rideau s’ouvre. Le chef des eunuques annonce «le favori de la nuit de votre Sublime Excellence!» L’homme qui y est assis en descend et s’approche doucement de Boucles d’Or. Il est revêtu d’un peignoir brodé d’or, avec de larges manches flottantes, et de sandales dorées également.
Le sultan fait le tour de Boucles d’Or. Environ 45 ans, 1m80 pour 75 kilos, le teint mat, athlétique, il a des cheveux noirs légèrement ondulés, parsemés de fils d’argent. Il a une large moustache, mais coupée très courte, ainsi qu’un bouc et un diamant à l’oreille. C’est ce que l’on appelle un très bel homme avec beaucoup de prestance et de majesté dans ses gestes. Il fait un geste au chef des eunuques qui se retire.
Très doucement le Sultan se dirige vers le baldaquin, quitte ses sandales, relève son peignoir au dessus de sa taille, laissant apercevoir des cuisses puissantes, et s’allonge à moitié sur le lit, son postérieur bien en évidence. Il dit: «Approche!» Boucles d’Or se lève et s’approche.
Près du Sultan il s’agenouille, embrasse les fesses charnues, les écarte doucement pour découvrir la raie parfumée et le bouton de rose imberbe. Boucles d’Or est très excité de ce que le Sultan soit un aussi bel homme et il espère qu’il sera aussi bon amant. Il est décidé à se surpasser. Tenant les fesses bien écartée, il passe plusieurs fois sa langue bien à plat, remontant lentement de la base des testicules jusqu’en haut des fesses. Puis il pointe la langue sur l’anus qui s’entrouvre et il s’amuse à le titiller jusqu’à pouvoir le pénétrer.
Boucles d’Or est en érection.
Soudain, le Sultan serre les fesses et se retourne. Il prend Boucles d’or par le menton et le relevant approche sa bouche de la sienne et lui donne un baiser langoureux. Les langues se mêlent, Boucles d’Or perçoit la saveur de la bouche du Sultan et ses jambes flageolent. Brusquement, le Sultan le pousse sur le lit, se couche à côté de lui, continue à l’embrasser tout en lui tillant les seins, en lui empoignant les couilles et en le masturbant. Le Sultan quitte son sexe ouvre la chaîne et lui sort le plug. Boucles d’Or n’a pas encore pu vérifier les dires de Maître Karakulak lui demandant de bien entretenir son cul, le Sultan étant encore mieux monté que lui. Il s’aperçoit seulement que le large torse du Sultan est velu, mais d’un poil souple pas comme celui de Maître Karakulak qui est dru. Il s’empare d’un des tétons long et dur et le suce longuement. Le Sultan gémit maintenant de plaisir et caresse Boucles d’Or de ses mains fines et douces. Le sultan se dégage d’un coup et se met à genoux sur le lit.
Boucles d’Or voit maintenant le sexe turgescent du Sultan et un frisson lui parcourt le dos. Il en a déjà vu et déjà pris mais comme celle là jamais. Elle se dresse devant lui, légèrement courbée vers le haut, longue et fière de ses 27 cm, large de 7, veinée, palpitante, coiffée d’un gland majestueux, bien ourlé, avec un méat large et bien ouvert, entourée de deux couilles lisses et pendantes et pour cause tant elles doivent être lourdes puisqu’elles sont pareilles à deux gros œufs. Le Sultan dégage une f o r c e virile, mêlée d’une sensualité extrême.
Boucles d’Or se dit que si le Sultan le baise à la Turc en une seule fois, il sera déchiré et finira à l’hôpital.
Le Sultan l’embrasse langoureusement. Boucles d’Or répond à son baiser. Le Sultan garde les yeux ouverts, de grands yeux verts entourés de longs cils noirs, de vrais yeux de biches, qui toisent et dominent Boucle d’Or Puis le Sultan, le prend par la nuque et par une légère pression de sa main fait comprendre à Boucles d’Or ce qu’il attend de lui.
Boucle d’Or descend jusqu'à se retrouver à hauteur du sexe dont il s’empare d’une main. La chair palpite sous sa pression, les veines se gonflent d’avantage. Boucle d’Or le lèche sur toute sa longueur, soupèse les couilles, remonte au gland, ouvre la bouche au maximum et enfourne le gros champignon. Sa langue tourne doucement autour de ce gros sucre d’orge, s’insinue dans le méat qui dégorge d’une grosse goutte de précum savoureuse.
Le Sultan d’un coup de rein plonge sa bite dans la gorge de Boucle d’Or qui hoquette. Le Sultan ressort de la bouche et avec la main frappe le visage la bouche de Boucle d’Or avec son sexe. Boucle d’Or essaie de reprendre ce morceau de chair en bouche.
Le Sultan fait mettre Boucle d’Or à quatre pattes, le derrière en l’air bien offert. Boucle d’or frisonne à nouveau. Il se dit que bien que dilaté, par les godes et les plugs, il faut qu’il se détende pour recevoir le phallus du Maître au plus profond de son intimité. Il est de son intérêt de donner satisfaction au Maître.
À présent, le Sultan lui lèche la raie. Sa langue douce tourne autour de l’anus imberbe de Boucle d’Or, s’y enfonce. Boucle d’Or trésaille de plaisir. Du bout des doigts, il prend dans une coupe de vermeille une dose de gel et en enduit l’anus de Boucle d’Or qui sent à présent la pression du gland du Sultan. Celui-ci promène son phallus le long de la raie de Boucle d’Or qui tortille du cul.
Soudain, sans crier gare, le gland plonge dans le trou de Boucle d’Or dont l’anneau culier se resserre à la base après l’ourlet. Un cri de surprise et de douleur s’échappe de la bouche de Boucle d’Or. «Tout doux mon biquet,» lui dit le Sultan. «Je vais te chevaucher et la chevauchée sera fantastique.»
Il prend Boucle d’Or par les cheveux et lui fait relever la tête. Le Sultan se retire et replonge de nouveau dans le ventre de Boucle d’Or et s’introduit centimètre par centimètre, restant sans bouger dans son cul pour qu’il se détende, pour que son anus se face à la grosseur de sa queue, qui est extraordinairement brûlante. Quand enfin le Sultan s’est complètement introduit, il ressort et s’introduit de nouveau.
Boucle d’Or sent les grosses couilles du Sultan battre contre ses fesses. Il se sent envahi d’un morceau énorme, plus qu’un trou béant que le Sultan pilonne sans ménagement. Et cela dure, Boucle d’Or a envie que cela s’arrête, mais aussi que cela continue. C’est une douleur mêlée d’extase. De son autre main le Sultan le branle, lui tire les couilles, lui pince les seins.
Soudain, Boucle d’Or à l’impression que le Sultan vient de plonger encore plus profond. Il sent que sa bite vibre dans son intestin que le gland gonfle encore. Dans un hurlement de bête féroce, le Sultan largue sa purée au plus profond du ventre de Boucle d’Or, qui sent un premier jet brûlant, suivi de sept autres. Boucle d’Or a l’impression qu’on lui administre un lavement au sperme. En même temps, Boucle d’Or éjacule dans la coupe que lui présente le Sultan.
Quand celui-ci se retire, Boucle d’Or a l’impression que l’on débouche son cul et le sperme s’écoule le long de ses fesses. Du bout du doigt le Sultan en récupère et le met dans la bouche de Boucle d’or qui savoure ce nectar parfumé. Le Sultan embrasse goulûment Boucle d’Or et se laisse tomber sur la couche l’entraînant avec lui.
Le Sultan retrouvera rapidement son érection et toute la nuit il baisera Boucle d’Or dans toutes les positions, éjaculant à chaque fois avec abondance.
Les jours ont passé. Boucle d’Or a été rappelé souvent auprès de son Maître. Le Sultan devait avoir un faible pour lui. Souvent, il venait passer un moment en sa compagnie dans son appartement. Ils écoutaient de la musique, jouaient aux échecs, flirtaient sensuellement. Le Sultan expliqua à Boucle d’or qu’il était son préféré, mais qu’il devait respecter la règle et honorer tous ses favoris.
Les semaines s’écoulent dans l’oisiveté, la langueur, la compagnie d’Ali, les visites de maître Karakulak. Les nuits où Boucle d’Or est appelé par son Sultan, il exulte, car il l’aime de chaque fibre de sa chair. Celles où il reste seul, il se languit, se morfond de jalousie.
Bientôt huit mois se sont écoulés et l’humeur du Sultan devient morose. Souvent il reste devant Boucle d’Or, son regard plongé dans ses yeux et ce dernier croit voir de temps à autre, une larme perler au coin de son œil de jade. Un matin, après une nuit d’amour encore plus torride que d’ordinaire le Sultan Mourad, prend Boucle d’Or au creux de son épaule et lui dit:
— Mon biquet adoré, voici près de huit mois que tu es au palais et les fêtes vont bientôt commencer. Certains invités sont déjà arrivés avec leur harem masculin et pendant cette semaine de libation, la coutume veut que nous nous échangions nos favoris. J’ai de la peine, car le dévolu du Sultan Djilale est tombé sur toi. Autrefois, Djilale m’a sauvé la vie en m’ôtant des mains des rebelles. Je ne peux rien lui refuser, même pas toi! Le Sultan Djilale est un grand noir africain et j’ai peur pour toi, car le surnom de Djilale est «Brise-cul»! Quand il t’aura possédé, tu risques d’être déchiré et je ne pourrai plus te pénétrer!
La voix du Sultan s’étouffe dans un s a n g lot.
Les jours suivant, et jusqu’à la soirée d’ouverture des fêtes, le Sultan Mourad reste très attentionné à Boucle d’Or, qui est baisé tous les jours, si pas plusieurs fois par jour. Boucle d’Or très angoissé, se donne à fond à son Maître.
Maître Karakulak s’acharne à lui mettre des plugs de plus en plus gros, avec f o r c e de lubrifiant. Il semble inquiet lui aussi. Boucle d’Or à l’impression que son cul s’ouvre de plus en plus et c’est à peine s’il sent encore la bite du Sultan.
Enfin, un soir, le palais résonne de musiques, de rires, de festins.
Un groupe de jeunes noirs souriants, pénètre dans la chambre de Boucle d’Or, le baigne, le masse, le parfume, le coiffe, lui enlève son plug, le revêt d’un pagne de soie laissant ses fesses apparentes. Il est conduit dans une aile du palais, dans une pièce a peine éclairée par les braseros, couverte de peau de zèbre, de lion.
Boucle d’or se met à genoux et attend. Un rideau s’ouvre découvrant une masse sombre. Une main le pousse brutalement vers l’avant et Boucle d’Or s’avance pour faire sa soumission au cul de ce qu’il devine être celui du Sultan Djilale. La raie, l’anus sont imberbe. Une forte odeur de fauve s’exhale de ce bouton rose énorme. Boucle d’Or fait un effort et d’une langue qu’il sort au maximum, il entreprend de lécher et de sucer les moindre plis de cette fleur tropicale. Il ne voit pas les couilles encore masquées par un voile de soie. Sultan Djilale pousse de petits cris.
La même main ramène Boucle d’or à son point de départ.
Sultan Djilale se relève, montagne noire. Boucle d’Or observe qu’il doit mesurer au moins deux mètres. Il est torse nu, vêtu d’un long pagne en soie blanche, station demie écartée, bras croisés sur la poitrine. Oui, pense Boucle d’or, c’est une montagne de muscles. Ses doigts, gros comme la bite de Maître Karakulak sont couverts de bagues. Pour monstrueux qu’il est dans les proportions, il a un beau visage et le corps sculptural d’un grand fauve. Sultan Djilale, s’asseyant sur ses talons, fait signe du doigt à Boucle d’Or d’avancer.
En face de lui Sultan Djilale lui fait signe de se mettre à genoux et d’un geste vif, lui arrache son pagne. Il désigne son sexe du doigt et part dans un grand éclat de rire, découvrant des dents blanches comme des perles: «P’tit kiki!!!» Il attr a p e Boucle d’Or dans ses bras et se laisse tomber à la renverse. Boucle d’Or se sent noyé dans cette masse de chair, minuscule petit blanc au milieu de tout cet ébène.
Il sent sa bouche happée par les grosses lèvres sensuelles de Sultan Djilale, tandis que ses gros doigts lui fouille l’anus sans ménagement. Boucle d’Or coule contre cette chair douce et dure à la fois qui l’entoure de partout. Il a des sentiments partagés. Bien sûr, son amant le Sultan Mourad..., mais celui là, est la réalisation d’un fantasme, ce black qui le lèche, le suce de partout, c’est trop lui demander. Il bande, prêt à exploser. De son genou, il essaie de pénétrer le secret de ce «Brise-cul» et il ne sent pas de verge en érection. Quel est ce mystère?
Sultan Djilale se remet à genoux face à Boucle d’Or. «Toi pas avoir peur p’tit blanc, du gand noir?» demande-t-il. Boucle d’Or est muet, tremblant. Sultan Djilale soulève alors doucement son pagne. Boucle d’Or n’en crois pas ses yeux. Ce n’est pas un phallus que Sultan Djilale a, mais une troisième cuisse. «Touche p’tit blanc!» Boucle d’Or avance timidement la main vers cette masse veinée qui tressaute à son contact. «Suce p’tit blanc!» Boucle d’Or se penche en avant. Il n’est pas question d’introduire un tel engin dans sa bouche. Il ne peut que le picorer, le lécher, introduisant le bout de sa langue dans le méat grand ouvert. Une grosse goutte de précum s’écoule dans sa bouche, laissant un goût piquant et voluptueux. La bite vibre, exhale des parfums, se durcit.
Sultan Djilale se couche sur le dos. Un esclave vient lui enduire copieusement son sexe de lubrifiant et enfouit ses doigts dans l’anus de Boucle d’Or. Celui-ci prend peur. Ce n’est pas vrai que Sultan Djilale va l’enculer? Deux puissants gardes l’attr a p e sous ses bras et l’asseyent sur le gland du Sultan. Le bout du gland entre déjà dans l’anus de Boucle d’Or. Le Sultan lui demande de ne pas avoir peur, de se laisser glisser, lui dit que tout se passera bien.
Les gardes soulèvent Boucle d’or tandis que l’esclave lubrifie la bite du Sultan et rasseyent Boucle d’Or sur le gland qui entre de plus en plus profond. Sa rondelle se tend à se rompre, ce n’est pas possible! Boucle d’Or essaie de se débattre, mais une baffe v i o l ente l’atteint en pleine figure. Le Sultan gueule dans son dialecte. Caresse les cuisses de Boucle d’Or, lui sourit confiant. Boucle d’or est cloué comme un papillon.
Pas de mouvement de va-et-vient, il se laisse descendre. Des montées de sueur rendent son corps mouillé. Sultan Djilale souffle comme un buffle. Le temps passe et Boucle d’Or descend, descend jusqu’à se sentir comme assis sur un coussin. Il ne peut pas bouger, il a l’impression qu’il va éclater. D’une main, il tâte ce qu’il a au dessous de ses fesses. C’est gros comme des melons... les couilles de Sultan Djilale. Il est arrivé au bout, il l’a en entier.
Le Sultan est satisfait de son doigt, il fait le tour de la rondelle de Boucle d’Or et soudain un torrent inonde les entrailles de Boucles d’Or qui a l’impression d’être un bouchon de champagne qui va sauter au plafond. Boucle d’Or perd connaissance.
Combien de temps s’est-il passé. Les rayons du soleil au travers de la persienne le réveillent peu à peu. Son corps est langoureux. Doucement il ouvre les yeux. Il est dans un décor oublié.... Sa chambre d’hôtel d’Istanbul?
Il a soif, se lève et se dirige vers la salle de bain. Il se rappelle, le palais, son amant le Sultan Mourad, ce grand noir. Ne serait-ce qu’un rêve? La tête lui tourne.
Il se penche sur le lavabo, s’accroche pour ne pas tomber. Que lui arrive-t-il? Il a l’impression d’avoir dormi longtemps, longtemps... Il ne réalise pas. Il fait couler de l’eau dans sa main, la porte à ses lèvres. Son regard plonge dans le miroir, qui renvoie le reflet de derrière, sur son épaule, un croissant de lune qu’enlace un serpent.
Quelle heure est-il? Dix heures! Il enfile en vitesse un pantalon de toile, jette une chemise sur ses épaules et descend à la réception. Il questionne le concierge de l’hôtel. Depuis combien de temps est-il là? Qui l’a ramené? Où se trouve le palais du Sultan Mourad. Franck n’obtient aucune réponse précise. Il se rend à son ambassade, au ministère de l’intérieur, personne ne connaît de Sultan Mourad, ni son palais.
Franck erre plusieurs jours dans le souk, comme une âme en peine. Il a perdu l’appétit et perdant l’amour, il perd la vie. En vain! Tout cela n’était il qu’un mirage et pourquoi.
En désespoir de cause, Franck décide de rentrer en France.
Arrivé à son appartement, il jette son sac dans l’entrée. Franchissant la porte du salon il remarque un petit paquet sur la table basse. Il l’ouvre fébrilement et en retire un trousseau de clés dont le porte clé est un gros diamant. Une carte tombe sur le tapis. Franck la ramasse et lit: «À ton garage au sous sol».
Franck se précipite arrive à son parking et à la place de sa vieille Ford, brille un coupe sport d’un rouge étincelant, une Ferrari. Franck ouvre la porte s’assied au volant et lit la carte qui y est collée «En souvenir de notre si belle histoire – Mourad».
Franck s’écroule sur le volant et s a n g lote sur son bel amour oriental perdu.
Jean-Claude
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